Le deuil n’est pas un mur, c’est un sentier.
Au début, il est obscur, escarpé,
On avance à tâtons, chaque pas coûte.
Mais avec le temps, la pente s’adoucit.

On apprend à vivre avec l’absence,
Comme on apprend à vivre avec une cicatrice.
On la sent toujours, mais elle ne saigne plus.
Elle devient mémoire.

Il n’y a pas un jour où tu ne manqueras pas.
Mais il y aura des jours où ton souvenir fera sourire.
Des jours où la peine deviendra paix.
Des jours où le silence sera doux.

Le deuil est un chemin.
Il ne mène pas à l’oubli,
Mais à l’acceptation
De ce qui a été, de ce qui est, de ce qui reste.